LA BOLSA DE BIELSA
LA BOLSA DE BIELSA, fue el último de los episodios bélicos de la guerra española entre los sublevados y el ejército de la República en el Frente de Aragón. Simbolizando la tenaz resistencia de "LA 43" División Republicana.
El éxodo de población civil, unos 5000 hacia Francia fue un ejemplo de organización y solidaridad del ejercito republicano con el pueblo Aragonés.
1/5/17
26/3/17
ACTOS REPUBLICANOS ESTA PRIMAVERA
PRIMAVERA TRICOLOR
8
Abril. Sabiñánigo. Organizado
por el Circulo Republicano del Alto Gallego
·
9 h. Ruta
Republicana a Pardina Centenero
·
19 h. Charla
Conferencia en Casa de la Cultura de Sabiñanigo
·
21 h. Cena
republicana
9 Abril. Saint – Gaudens (Francia).
Organizado por Asoc. Memoria y Exilio
·
Exposición “La Retirada” Republicanos españoles en
Haute-Garonne
·
13 h. Comida.
·
15.30 h. Concierto de “Os Chotos”
14
Abril. Barbastro. Organizado por
el Círculo Republicano de Barbastro
·
9 h.
Concentración en la Fuente de La Republica
·
11 h. Homenaje
a republicanos y quien defendió la libertad frente al fascismo
21 Abril. Monzón. Organizado por el Colectivo
Manuel Azaña
·
19 h. Local de la CNT en Plaza San Juan. Proyeccion del documental “Ni Peones ni
Patrones” Mujeres y hombres del Cinca Medio llevaron a cabo una revolución
social. Unica respuesta al fascismo. Intervienen miembros de la CNT del Cinca. A la memoria de Joaquín Paricio Miralves y su maestro Félix Carraquer.
·
20.30 h. Merienda
de alforja en Bar One.
20-21
Mayo. Navarra. Organizado por la Asociación
Txinparta-Fuerte San Cristóbal (Ezkaba)
Viaje a
Pamplona a los actos de Homenaje a los
presos del fuerte de Ezkaba y “La Fuga” de 400
2-3-4 Junio. Sobrepuerto. Organiza
Asoc. “La Bolsa” Y Círculo Republicano del Alto Gallego.
Previo de las XI Jornadas de La Bolsa De Bielsa. “El nacimiento de LA 43”
·
Día 2. Charla sobre como y
cuando se formó LA 43 División Republicana
·
Día 3. Marcha Yebra de Basa
- Santa Orosia – Oturia – Cortillas (cena y pernocta)
·
Día 4. Cortillas – Cillas –
Basarán – Bergua – Fiscal
16-17-18 Junio. XI Jornadas de La
Bolsa de Bielsa. Organiza: Asoc. La Bolsa
·
16 Llegada de Participantes. Cena homenaje a “La 43”. Campin Los Vives de
Saravillo
·
17 Marcha a Ibon de Plan. Comida de alforja en Basa La Mora. Presentación
de Libros. “Madre Anoche en las
Trinecheras” y “Nunca hemos oído pedir perdón”
-
Cena republicana y concierto de EL
COMUNERO (Toulouse).
·
18 Homenaje en Bielsa. Charla sobre “La Fuga” de Ezkaba. Comida .. y fin de jornadas.
Información: Guillermo
629 77 00 32 / Rubén 684 11 22 99
ORGANIZAN:
Circulo Republicano del Alto Gallego - Asoc. Memoria y
Exilio - Círculo Republicano de Barbastro
Colectivo Manuel Azaña - Asociación Txinparta
Asoc. “La Bolsa” de Bielsa
Asoc. “La Bolsa” de Bielsa
23/10/16
13 de Octubre. Homenaje en Luchón. HOSPICE DE FRANCE
Muchos fueron los testimonios que se oyeron ese día. Un niño
de seis años (octogenario ya) llamada Domingo Murillo rememoró la huida,
mordiéndoles los talones los fascistas, a lo largo de cuatro día.
También el adolescente incansable del nonagenario Martín
Arnal (16 años en el momento del paso y con dos hermanos asesinados detrás)
tuvo fuerza y arrojo para explicar su odisea. Como también lo hizo Guillermo
Viú (la nieve, siempre el espesor de la nieva y el frío) que reprodujo
testimonios orales de la familia.
Y, quizás, por la sensibilidad y la emoción que contagió a
todos quienes la escucharon en un impresionante silencio, merece la pena
reproducirse aquí la intervención (ora en español, ora en francés) de nuestra
compañera y hermana tricolor Chantal Penicault. Dice así:
Comme nombre de personnes de cette assemblée, je suis fille
de républicains espagnols. Ma mère était originaire de Leciñena, près de
Zaragoza,mon père de Garde, Valle de Roncal en Navarre. La jeune sœur de mon père née en 1934
s'appelait Libertad, c'est dire s'ils étaient républicains.
Quand la guerre
civile éclata en juillet 1936, la
Navarre est tombée de suite aux mains des franquistes. Mon père, Demetrio
GORRINDO et son père Juan, ont du quitter leur village précipitamment, dénoncés
par un cousin. Ils sont passés par la montagne en zone républicaine, en Aragon,
et s'engagèrent dans l'armée populaire de la République Espagnole.
Ils ont combattu du côté de Tardienta. En mars 1938, ils
étaient à Benasque et quand la ville est tombée, ils sont passés en France par
le Port de Vénasque, seule issue pour éviter la mort, parmi des milliers de
républicains , civils et militaires.
Mais ils sont repartis aussitôt en Catalogne, comme nombre
de sodats, continuer le combat anti-franquiste. A la chute de Barcelone, la
guerre était perdue pour ces valeureux combattants de la Liberté. En février
1939, 500 000 républicains espagnols,
femmes, enfants, soldats ont franchi la frontière française poussés par les
bombes franquistes.
C'était la Retirada. En France, ils ont été internés, si on peut employer ce
mot, dans le camp de concentration d'Argelès, puis ont été enrôlés dans les
Camps de Travailleurs Etrangers, sur le mur de l'Atlantique. Ensuite, ils sont arrivés dans le Comminges où
ils ont repris leur profession de bûcherons. Mon père a connu ma mère et
a fait sa vie ici. La famille de ma mère, Juanita ESCANERO, a connu un exode
intérieur de plus de 2 ans, reculant vers la Catalogne au fur et à mesure que
les franquistes avançaient.
Mon grand-père, lui, qui avait laissé sa femme et ses 7
autres enfants au village en Espagne, a décidé de repartir, c'était vers 1941.
Il a été emprisonné quelques jours à Jaca puis a rejoint sa famille au village.
Il a repris son travail de bûcheron avec son plus jeune fils. En 1944, ils ont
été victimes tous les deux d'un accident, électrocutés par une ligne électrique
tombée au sol depuis quelques jours. Mais était-ce vraiment un accident?
Mon oncle était âgé d'à peine 15 ans! Ma grand-mère, restée seule avec 6
enfants n'a reçu aucune aide; au contraire, les franquistes lui ont pris la
mule qui servait au débardage du bois, ainsi que des meubles. Mais pour
d'autres ce fut pire!
L'après guerre a été terrible pour les républicains restés
ou revenus en Espagne. Dans certains villages, les femmes ont été tondues, les
franquistes les forçaient à boire de l'huile de ricin pour les rendre malades
et les exhibaient dans le village en leur chantant des chansons. Humiliations,
viols parfois, mais aussi de nombreux emprisonnements et exécutions, uniquement
parce qu'elles étaient au parti communiste par exemple, comme les 13 roses, ces
jeunes femmes fusillées en août 1939 par les franquistes.
Les républicains ont aussi été condamnés aux travaux forcés.
Entre 1939 et 1945, ils ont construit des barrages et des routes, en
particulier dans les Pyrénées. Nous participons à l'hommage à ces esclaves du
franquisme, à Igal, en Navarre. Là,
chaque année, témoigne Luis ORTIZ ALFAU (il fête ses 100 ans aujourd'hui
même), qui après avoir été
"interné" en 1939 dans le
camps de concentration de Gurs, dans les Pyrénées Atlantiques, est
retourné en Espagne et a été condamné à ces travaux forcés. Il témoigne aujourd'hui au procès de
l'Argentine contre les crimes franquistes.
Nous étions également en décembre 2014 à Huesca, pour
l'inauguration du Parque Mártires de la Libertad, créé par l'association El Círculo Republicano de Huesca, en hommage
aux 545 républicains, hommes, et femmes aussi, fusillés par les franquistes
entre 1939 et 1945.
Et les fosses franquistes : 110 000 républicains disparus, enterrés ou plutôt
jetés dans ces fosses. Un travail phénoménal se fait en Espagne, pour les
ouvrir, identifier les ossements et leur donner une sépulture décente, en
présence de leur famille.
Oui, la répression post guerre a été terrible en Espagne, et
a duré des années, sans compter la chape de plomb qui s'est abattue sur eux, la
peur de parler. La parole s'est libérée il y a peu.
Les Républicains Espagnols ont souffert également en France,
d'abord par cette amère défaite, puis par les conditions d'accueil qu'ils
espéraient autres : les hommes (dans certains cas des femmes et des enfants aussi)
enfermés dans les camps de concentration, cernés par les barbelés et gardés par
les tirailleurs sénégalais. Mais
les familles, femmes, enfants, personnes âgés, ont été mieux accueillies, dans
des refuges. A St Gaudens, la famille de ma mère a été aux Haras de St Gaudens
une dizaine de jours (ils étaient 320) puis au refuge de Miramont. Ils
se sont intégrés et nous ont légué leurs valeurs, les valeurs de la République.
Et de nombreux républicains espagnols ont continué le combat
antifasciste en s'engageant dans la Résistance lors de la 2de guerre mondiale,
comme Martín ARNAL, ou dans la légion étrangère comme Jean RUIZ de St Gaudens
ou comme mon oncle Aurelio ESCANERO. M RUIZ s'est engagé dès mars 1939 depuis
le camp d'Argelès. Il a combattu en Afrique du Nord et a été fait prisonnier en
Tunisie en 1943. Il a été envoyé dans un camp de concentration en Pologne d'où il a été libéré par les russes en juin
1945. Deux mots reviennent : froid et faim.
9 ans de guerre pour tous ces jeunes, à défendre la République et la
Liberté. Nous sommes
extrêmement fiers d'eux.
Notre
association s'appelle MEMORIA Y EXILIO : l'exil, ils l'ont connu, et la
mémoire, nous la transmettons, nous, leurs enfants et petits enfants. Merci
aux professeurs qui enseignent cette histoire méconnue, et merci aux élèves de
s'y intéresser.
Muchas gracias a las asociaciones republicanas de Barbastro,
Bielsa, Huesca y Monzón por haber venido en este homenaje. Recordandonos la
excursión que hicimos con Rubén y sus amigos, en este camino del exilio en
junio del año pasado. Muy símbólico encontrarse las 2 asociaciones en el
refugio de Benasque, tras haber subido cada uno de un lado de este Puerto.
L'an dernier, avec
l'association La Bolsa de Bielsa, nous avons parcouru ce chemin de l'exil, montant
chacun d'un côté du Port de Vénasque. Notre rencontre au refuge du Vénasque
était très symbolique et un moment très fort pour nous.
Pour finir, merci à toutes les associations, françaises et
espagnoles, pour le travail qu'elles accomplissent et pour nous avoir permis de
mieux connaître l'histoire de notre famille. Et merci à notre Président, Jules
Estaran.
9/10/16
HOMENAJE EN HOSPICE DE FRANCE. LUCHON
HOSPICE DE FRANCE, - LUCHON (France)
JUEVES 13 DE OCTUBRE 2016
11horas
Colocación de una placa en homenaje a los Republicanos Españoles, civiles y milicianos, que pasaron a Francia por el Puerto de Benasque, en marzo de 1938, trás la caída de Benasque.
Entre ellos, Martin Arnal y Demetrio Gorrrindo , que volvieron enseguida a la parte republicana en Cataluña, como muchos de los soldados, para seguir el combate contra los franquistas y defender la República y La Libertad.
Organizado por el ayuntamiento de Luchon y la asociación Memoria y Exilio. Con la presencia de alumnos del colegio de Luchon.
JUEVES 13 DE OCTUBRE 2016
11horas
Colocación de una placa en homenaje a los Republicanos Españoles, civiles y milicianos, que pasaron a Francia por el Puerto de Benasque, en marzo de 1938, trás la caída de Benasque.
Entre ellos, Martin Arnal y Demetrio Gorrrindo , que volvieron enseguida a la parte republicana en Cataluña, como muchos de los soldados, para seguir el combate contra los franquistas y defender la República y La Libertad.
Organizado por el ayuntamiento de Luchon y la asociación Memoria y Exilio. Con la presencia de alumnos del colegio de Luchon.
![]() |
Encuentro de Asoc. Memoria y Exilio con Asoc. La Bolsa en el previo de las jornadas 2015 PORTILLON DE BENASQUE |
7/9/16
RESUMEN: X JORNADAS DE LA BOLSA DE BIELSA
17.06.2016.- VIERNES
Tras la cena, a la que asisten unos cincuenta comensales,
Philippe Guillén expone sus trabajos acerca de los aragoneses en el exilio
francés. Con abundante documentación, el conocido estudioso del "lápiz
rojo" (el dibujante Cabrero Arnal), hace un repaso acerca de los archivos
departamentales franceses y los "tesoros" en ellos contenidos.
Exhibe diferentes documentaciones personales para refugiados
españoles , que ponen como nacionalidad "republicano" o, incluso,
"refugiado". Muchos de ellos con relación con pueblos cercanos;
muchos de ellos con apellidos que suenan familiares a los presentes.
Cartas personales del Esquinazau, recortes de periódicos que
muestran estremecedores ejemplos de odio y falta de consideración hacia las
gentes que buscaban refugio y futuro en el país vecino, insultos relacionadas
con la esencia de ser rojo, prejuicios, etc...
Miles de fotografías, cientos de cartas de las que Philippe
muestra tan sólo una pequeña parte que refleja pálidamente el terror y la
hostilidad hacia nuestros ascendientes republicanos. Y evidentes similitudes
con cuestiones de actualidad hoy día.
Los campos de concentración, los batallones de trabajadores
y el deambular errante de muchos tricolores ocupan buena parte de la
intervención de Philippe que, periódicamente, es interrumpido por espontáneas
preguntas. Así como las lamentables condiciones de los campos de concentración
y el cinismo de la historiografía francesa que niega la existencia de los
mismos, edulcorándolos con eufemísticas nominaciones.
Fantástica acogida al trabajo de nuestro compañero Philippe.
Una nueva muestra más del combate que nuestro amigo entabla contra la
desmemoria.
18.06.2016.- SABADO
Temprano comienza la jornada. A poco de amanecer el grupo
más andarín se encuentra en la boca sur del túnel de Bielsa para comenzar la
subida a Puerto Viejo. Frío y abundante nieve encontrarán en su caminos quienes
rememoran el crudo caminar de la 43 en su heroica retirada. Al contrario que a
los protagonistas, a los expedicionarios de hoy les esperan a su vuelta ropa
seca, y algo que almorzar.
Manifiesto leido :
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
HEMOS VUELTO
Hemos vuelto a PUERTO VIEJO
78 años después. Hemos vuelto con la cabeza, el puño y la palabra en alto.
Hemos vuelto para reparar la memoria de los nuestros. De nuestras familias, de
nuestros compañeros de LA 43, y de la REPUBLICA
Para
el régimen establecido nunca es el momento de reconocer a los ultrajados. Para
nosotros nunca será el de olvidarlos.
La
experiencia nos demuestra que en esta democracia donde tantas veces y tan
gravemente colisionan la ética y la legalidad, somos nosotros desde las
asociaciones o desde las aportaciones individuales quienes hemos de asumir el
reto de exigir dignidad para cuantos todavía hoy siguen sin ser reconocidos
como víctimas de la dictadura.
Por
eso hemos vuelto a Puerto Viejo. Hemos vuelto porque no nos acobarda el poderío
de quienes niegan y retrasan la justicia hacia los atropellos del franquismo.
Hemos vuelto porque nos rebelamos frente a la tibieza del olvido. Hemos vuelto
porque nadie nos va a imponer el silencio. Por eso aquí, en este escenario en
el que perdura el eco de tanto dolor gritamos:
¡Viva la 43 División! ¡Viva
la República!
Sábado 18 de Junio
de 2016
--------------------------------------------------------------------------------------------------
A las 14:00 horas, en las piscinas de Bielsa, una paella
para reponer fuerzas. Momento de fotos que aprovechan estas gentes republicanas
para manifestar su apoyo a la Plataforma LOPORZANO SIN GANADERÍA INTENSIVA. Y,
tras comer rápido, echar una pequeña siesta previa al emotivo acto de homenaje
a los caídos en la Bolsa de Bielsa.
A las 18:30 horas,en el monolito punto de encuentro, se
realiza el acto más emotivo de las jornadas. En esta ocasión, el monolito
flanqueado por dos soldados ataviados a la usanza de la época, recibe las
intervenciones de Philippe Guillén quien, en nombre del CIIMER de Borredón (y
con una voz que acusa los efectos de la charla ofrecida en la noche anterior)
recuerda los lazos entre asociaciones francesas y aragonesas luchadoras por la
memoria.
Asegura Philippe que el futuro es crecer y desarrollarse, a
pesar de que no es fácil ni en Francia ni en España. Y termina, tras los vivas
de rigor, alertando de que el vientre de la bestia sigue fecundo, a pesar de
que venceremos.
Toma la palabra a continuación Antonio Alastrué,
representando a la Fundación Bernardo Aladrén y al alcalde y vicealcaldesa de
Zaragoza (Pedro Santisteve y Luisa Broto) y transmitiendo la
felicitación de todos ellos a la Asociación Bolsa de Bielsa por su décimo
aniversario.
Establece Antonio acertadas comparaciones entre la situación
que atravesaron los que aquí se homenajean y las personas a los que hoy
llamamos "refugiados" que han destapado la vergüenza de una Europa
que mira con desdén su sufrimiento y no hace lo que debiera. Incluso llega el
interviniente a establecer comparaciones gráficas entre fotografías antiguas
(colas de refugiados, familias completas, deambulando por carreteras de
incierto destino, gentes tras alambradas de espino...) y modernas, que tan sólo
se diferencian en que unas son digitales y en color y las otras no. Afirma
Antonio que, afortunadamente, no todos los gobiernos locales y/o nacionales son
indiferentes; afirma Antonio que los ayuntamientos "En Común" han
cambiado las prioridades, y que la atención a los más desfavorecidos es la principal.
Por ello, además, entiende que todas las elecciones son
importantes; también estas inmediatas del 26J. Como lo fueron las de 1936 que
dieron la victoria al Frente Popular.
Termina Antonio señalando que el pueblo tiene derecho a
integrase en una estructura militar que defienda los intereses que le son
propios, y , una vez más, recuerda la legitimidad del Gobierno de la República
para el uso de la fuerza militar ante el golpe fascista de 1936.
Se suceden los vivas de rigor mientras Antonio exige honor y
gloria para la 43 división.
Antes de la ofrenda floral y la sesión fotográfica
consiguiente, finaliza el turno de las intervenciones la representante de
ARMHA, Mercedes Sánchez Redondo, que ocupa su tiempo en una lectura dramatizada y
emotiva del texto de la canción "Bajo dos tricolores":
"¡Con la Cuarenta y tres, (madre, no llore usted),
por el mundo en que creo con fe lucharé!.
¡No pienso vivir sus inviernos sin fin,
ni arriar tricolores banderas de Abril!"
A las 19:00 horas, y tras la inauguración de su exposición
"Aragoneses y campos de exterminio" ARMHA (ASOCIACIÓN POR LA
RECUPERACIÓN DE LA MEMORIA HISTÓRICA DE ARAGÓN) comienza la charla que
constituye el acto último de hoy, previo a la cena de hermandad. El recuerdo a
la gesta a su pesar (así lo define el orador, Enrique Gómez) que aquí ocurrió
es el tema central de su intervención. Acerca de la 43, palabras acerca de su
jefe, composición de la misma (desde universitarios a excursionistas), número
inferior al que correspondería a una división, etc ... Aragón fue el paradigma
de lo que sucedería poco después.
De la vergüenza de la transición bajo el ruido de sables, de
la ley preconstitucional que liberó de la justicia a los genocidas, del estado
inane de la memoria histórica hasta el gobierno socialista de Zapatero y la ley
de memoria que se hizo entonces sin dotación económica.
Sirvió tan sólo para hacer alguna exhumación y para lavarse
cara y conciencia los autores de la misma. Recuerda las frases hechas que se
popularizaron entonces para trivializar, demonizar o quitar credibilidad a los
que peleaban en ello. Pedagogía, conocimiento de la historia y mucho trabajo
por delante reconoce el orador que asume que el deseo de ARMHA es desaparecer por
haber concluido su valor.
Zaragoza, dice, puede jactarse de tener el memorial más
importante de España, en recuerdo de sus víctimas. Memorial que se usa en dos
vertientes: humanitaria que encuentra en el lugar un espacio de memoria y, por
otra, como recordatorio perenne ciudadano de lo que es un delito de lesa
humanidad.
Finaliza su intervención exponiendo un decálogo de
actuaciones pendientes:
1.- Condena parlamentaria al franquismo.
2.- Comisión de la Verdad.
3.- Ley de memoria histórica "de verdad".
4.- Anulación juicios franquistas.
5.- Revisiones depuraciones y expedientes funcionarios.
6.- Indemnizaciones represaliados y devolución bienes
expropiados.
7.- Exhumación de oficio a petición familiares y dotación
presupuestaria.
8.- Elaboración mapa lugares de memoria. Estudio y enseñanza
de los mismos.
9.- Apertura oficio expedientes bebés robados,
desaparecidos, etc...
10. Homenaje especial víctimas franquismo y fecha oficial de
conmemoración.
Termina Enrique manifestando su temor de que la Ley de MH
aragonesa quede en agua de borrajas, pero, eso sí, asegura que seguiremos
quienes estamos en esta lucha con la misma firmeza y convicción que hasta
ahora.
22:00 horas.- Cena, quemadillo y charla hasta altas horas,
que mañana el programa es más corto.
19.06.2016.- DOMINGO
12:00 horas. José Ángel Pérez Marcuello, del CR Alto Gállego
ofrece una charla que tiene como eje central la 43 División. Sala casi llena y
puntualidad casi perfecta.
Inicia su relato en la zona de Sabiñánigo donde centra el
núcleo de encuentro y primera resistencia, que, tiempo después reciben a las
primeras fuerzas militares con Mariano Bueno al frente quien organiza la
primera estructura militar. En esta fase, tiros muy poquitos, comenta JA.
En Barcelona se forma un banderín de enganche que da lugar
al batallón Vinco Villas. Se le da el mando al Esquinazau. La estructura militar,
mando, ametralladoras, sanidad, transmisiones..., pero sin armamento.
Incide , tras un repaso a la numeración de batallones y
brigadas, en los lapsos breves de cambios en mandos. Y explica
pormenorizadamente, con amplia uso de fechas , lugares y hechos, la gesta de La
Bolsa de Bielsa. Tras cuarenta minutos, y terminada su disertación, se abre un
turno de debate con aportaciones interesantes del auditorio.
Llegado el turno de los reconocimientos, tres son las
asociaciones que reciben una placa por su colaboración en estas jornadas:
ARMHA, MEMORIA y EXILIO y el CR del Alto Gállego. También Martín Arnal recibirá
un cerámico obsequio que se le guarda desde el 14 de abril del presente, cuando
no pudo recogerlo en su momento.
Martín hace entrega a ARMHA |
Carlos hace entrega a ASOC. MEMORIA Y EXILIO |
Guillero entrega a CIRCULO REPUBLICANO ALTO GALLEGO |
Colectivo Manuel Azaña entrega a MARTIN ARNAL |
Las jornadas, una vez más, terminan. Llegan los momentos
emotivos de las postreras fotos de grupo, de las últimas bromas y abrazos. La
familia republicana, en diáspora mitigada en buena parte por los medios de
comunicación a nuestro alcance, se separa. Siempre con la vista puesta en la próxima
cita, siempre con la esperanza de ser tempranamente convocada por el suceso de
la proclamación de la III República; evento al que, seguro, no seremos ajenos.
PARA FINALIZAR:
Tras diez años de existencia, queda claro que la realización
de estas jornadas no ha sido flor de un día. Diez ediciones en las que ha sido
preciso hacer frente a muchos problemas estructurales siempre condicionados por
los financieros.
Los poderes públicos debieran darse cuenta, de una vez por
todas ya, que en nuestro Aragón se producen, crónicamente, una serie de actos,
jornadas y otros eventos organizados por la multiplicidad de organizaciones
memorialistas que aquí operan. Su actividad es un ejemplo obvio de combate
contra el olvido y de recuperación de nuestro pasado reciente.
Y, por ende, de la dignidad y compromiso de quienes ayudan a
ello. Desde dentro y desde fuera. Quiero con ello expresar que aquellos que,
desde el poder político, miren con indiferencia (no digamos ya hostilidad) el
cotidiano afán de estas gentes tricolores no pueden llenarse la boca luego (por
cuestiones de autoridad moral) con declaraciones acerca de calidades
democráticas y/o representatividades avaladas por urnas en las que, casi siempre,
el tema de la restauración de le legitimidad republicana es asunto de segundo
orden.
Mi más cálida enhorabuena a estas gentes que , desde hace
diez años, se juntan este fin de semana de Junio y suben a Puerto Viejo con la
oculta esperanza, quizás, de que les salgan al encuentro esos soldados de la II
República, esos militares de la 43, que vuelven a retomar lo que el fascismo le
arrebató.
5/9/16
NERIN - REFUGIO DE GORIZ - BRECHA ROLANDO
PREVIO A LAS "10 JORNADAS DE LA BOLSA"
Hemos programado esta salida de alta montaña en recuerdo a las familias del Valle de Puertolas, Valle de Añisclo, Valle de Broto, Valle de Bujaruelo ....... Rivera del Ara ...... etc
Pueblos Familias que tuvieron que utilizar "La Breca" para huir a Francia por el acoso fascista. Paso fronterizo utilizado para comunicación y contrabando con Francia.
Hemos programado esta salida de alta montaña en recuerdo a las familias del Valle de Puertolas, Valle de Añisclo, Valle de Broto, Valle de Bujaruelo ....... Rivera del Ara ...... etc
Pueblos Familias que tuvieron que utilizar "La Breca" para huir a Francia por el acoso fascista. Paso fronterizo utilizado para comunicación y contrabando con Francia.
25/5/16
Cartel: X JORNADAS DE LA BOLSA DE BIELSA
X JORNADAS DE LA BOLSA DE BIELSA
“78 Años del Exilio Aragonés”
17, 18 y 19 de Junio - 2016
Día 17: Viernes. Llegada de
participantes a las jornadas. Alojamiento en la zona
20,30
h. Camping Pineta. Cena en honor a MANUEL AZAÑA. (14 €)
21,30
h. Philippe Guillén descendiente de Casa Antoni de Chisten nos hablará
sobre sus trabajos investigación sobre algunas familias de republicanos
aragoneses. Sus desplazamientos y su ingreso en campos de concentración
franceses. (Camping Pineta)
Día 18: Sábado
8,30 h. Salimos del túnel de Bielsa – Aragnouet con objetivo
Puerto Viejo (+ - 2,30 h.). En Puerto Biello
desayuno de alforja. Lectura de manifiestos y homenaje a los que por aquí
tuvieron que huir de la guerra y el
fascismo.
14,30 h. Paella popular en piscinas de Bielsa. Catering de
Casa Ruché (7 €)
18 h. En memorial a los caídos de Bielsa, acto en recuerdo
de la población civil del Sobrarbe y del Pirineo Aragonés . Flores, turno de
palabras y foto de familia.
18,30 h. Inauguración en Casa Larraga de la Exposición
ARAGONESES EN EL EXILIO REPUBLICANO
19 h. En Ayuntamiento de Bielsa. Charla de la Asociación de
Recuperación de Memoria Histórica de Aragón (ARMHA). Trabajos realizados y
proyectos futuros
21 h. Camping Pineta. Cena de hermandad Aragón – Francia. (14
€) Quemadillo de Ron. Fiesta y Música
…..
Día 19: Domingo
12 h. Salón de actos del Ayuntamiento de Bielsa. Charla
ofrecida por el Círculo Republicano del Alto Gállego sobre “LA 43” División Republicana conocida
como la Heroica. Fue fundada en junio de 1937, agrupando a las
Brigadas Mixtas 72, 102 y 130. Durante buena parte de la guerra sirvió en
el Frente de Aragón.
14 h. Comida en Casa Matazueras de Bielsa (14 €) ……… y fin de jornadas.
Organiza:
ASOCIACION
SOBRARBENSE “LA BOLSA”
Colabora:
COMARCA DE
SOBRARBE – AYUNTAMIENTO DE BIELSA
COLECTIVO
“MANUEL AZAÑA” – CIRCULO REPUBLICANO DE BARBASTRO
A.R.M.H.A. -
CIRCULO REPUBLICANO DEL ALTO GALLEGO
Inscripciones:
asoc.la.bolsa@gmail.com Telf. 661
662 589 http://bolsadebielsa.blogspot.com.es
Suscribirse a:
Entradas (Atom)
Seguidores
Colaboradores
ASOCIACION SOBARBENSE LA BOLSA
e.mail: asoc.la.bolsa@gmail.com